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Histoire et patrimoine

Mairie

1, place de l’Etang
29860 BOURG-BLANC
Tél. : 02 98 84 58 13

Entre terre et mer…

Idéalement placée entre la ville de Brest et la mer, la commune de Bourg-Blanc s’étend sur 2800 hectares au cœur du Léon. Sa population atteint aujourd’hui 3623 habitants grâce à un développement régulier depuis les années 1960.

L’activité agricole, qui a longtemps été dominante, conserve encore 50 exploitations spécialisées dans l’élevage bovin, porcin et la production légumière. Bourg-Blanc s’est équipé de zones d’activités qui regroupent bon nombre d’entreprises et un artisanat très actif.

Les emplois sur Brest, très importants, et les communes avoisinantes occupent de nombreux Blancs-Bourgeois.

Le bourg

Le site du bourg, construit autour de son clocher haut placé, bénéficie du passage d’une rivière et de la proximité de lacs aménagés.

La qualité des équipements communaux (MTL, Médiathèque, deux salles omnisports, terrains de football, etc…) contribue à l’épanouissement sportif et culturel des habitants.

Les écoles, les nombreuses associations sont aussi l’expression de la volonté de Bourg-Blanc de faire une place importante à sa jeunesse

Les communes de Bourg-Blanc et Coat-Méal sont liées avec une charte d’amitié depuis 2005 avec la ville de la Balme de Sillingy en Haute-Savoie.

► Consulter le Comité de jumelage.

L’Origine de Bourg-Blanc

A cette époque, nos ancêtres étaient sans doute peu nombreux à cause des bois qui couvraient une grande partie du territoire comme l’attestent les nombreux noms de quartiers qui contiennent le mot « coat » (bois en breton).

C’est d’ailleurs dans cette forêt profonde que l’on appelait Douna (de « doun » : profond) que vécut vers le milieu du VIème siècle, un véritable ermite, Urfold, qui devait sanctifier ces lieux et dont le tombeau orne la chapelle qui porte son nom aujourd’hui : La chapelle Saint Urfold.

En 1607, Bourg-Blanc qui n’était alors qu’un lieu-dit de Plouvien devint une trêve dépendant de cette même paroisse, avant d’être érigée en commune indépendante dans les premières années de la révolution. Elle dépendait alors du canton de Lannilis.

En breton, Ar Vourc’h Wenn a une origine assez obscure. L’hypothèse la plus vraisemblable fait appel au vocabulaire gaélique en rapprochant le mot « bourg » du « burg » germanique, évoquant ainsi l’emplacement d’un lieu fortifié parfaitement imaginable sur un rocher isolé par des marécages ; d’autre part, le qualificatif « blanc », outre la couleur, désignait souvent un lieu sacré ou voué aux divinités.

Quoi qu’il en soit, notre territoire a été habité de longue date. Des vestiges préhistoriques en témoignent, telle cette chambre funéraire vieille de plus de 3000 ans, découverte à Coatanéa.

Plus près de nous, l’occupation romaine est attestée par de spectaculaires découvertes, en 1980, du fameux trésor de Kergonc, constitué de quelques 826 pièces enfouies dans le sol dans les années 276 après J-C, et en 1989, du trésor de Kerdidrun qui compte 1200 pièces romaines.

Le livre, Il était une fois Bourg-Blanc est disponble à l’accueil de la Mairie au tarif de 20 euros.

Eglise Notre-Dame

Chapelle Saint-Urfold

Manoir du Breignou

Les armoiries

Le chêne centenaire